–|[ Votre personnage:
–|Nom : Zaccharelli
–|Prénom : Alexandro
–|Sexe : Masculin
–|Attirance : Hétéro
–|Age : 32 ans
–|Statut : Humains
–|Rôle : Gangster
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
–|Histoire :
La réputation des Zaccharelli n'est plus à faire en Italie, leur pays d'origine. Grands acteurs de la mafia, leur savoir dans l'art de l'illégal se transmet de générations en générations. Alexandro n'a pas fait exception à la règle sur ce point, contrairement à d'autres traditions familiales qu'il n'a pas tardé à changer. Mais commençons par le commencement.
Alexandro Zaccharelli est né il y a de cela 32 ans, dans un quartier populaire de la banlieue de Naples, la Scampia, le plus grand marché de drogue européen au détail. Taux de chômage supérieur -et de loin- à la moyenne nationale et le travail au noir ferait à lui seul tourner tout le manège. Ce fut d'ailleurs dans ces deux domaines qu'Alexandro commença à exercer, âgé alors de 15 ou 16 ans. Son frère aîné quand à lui, travaillait déjà à côté de son père, sur des dossiers plus "confidentiels". Pourtant personne n'ignorait la nature des activités de ces deux-là, personne, sauf Alex. D'un autre côté, lui n'était rien. Simplement destiné à prendre la succession de son frère s'il arrivait quelque chose à celui-là, mais en aucun cas prévu à une aussi grande carrière. Il n'accepta jamais cette situation. L'idée même d'avoir tant fait pour finalement n'arriver à rien, était en sa conception imaginable, n'avait jamais frôler son esprit au grand malheur de tous. C'est pourquoi, trois moururent.
Le premier, le père, le sixième jour, du sixième mois, à la sixième heure. C'était lui, par sa seule décision qui s'était condamné. Un flower français le tua, on ne sait ni où, ni comment, car seul le premier phalange de son index fut retrouver. La seule preuve qu'Alex avait demandé.
Le deuxième, l'oncle, le sixième jour, du neuvième mois, à la douzième heure. Celui qui haïssait pour haïr, qui rabaissait pour rabaisser. Pour qui tout était devoir, mais rien ne devait être fait par lui. Il s'opposait trop souvent à Alexandro, qui avait pris une importance plus grande suite à la mort de son père. Cette fois, ce fut un flower du pays qui tua. La corps fut retrouvé mutilé dans l'appartement d'une des maîtresses.
Le troisième, le frère, le dernier obstacle à la grandeur, puis l'erreur fatale... Le sixième jour du douzième mois à la dix-huitième heure. Il devait mourir de la même manière que le premier, dans les même conditions, à la seconde près, et de la même main. Pour que le père soit comme le fils, jusque dans la mort. Car maintenant, c'était plus que de la fierté qui envahissait Alexandro quand il montrait une fois de plus ses différences avec sa "famille". Lui était tout simplement plus intelligent, il voyait plus loin, plus neuf, plus grand. Il était près à plus de chose pour arriver au bout. Rien que pour les tuer, il avait sacrifié la moitié de la fortune familiale. En échange du pouvoir...
Comme prévu, le flower laissa la première phalange de l'index, et le corps ne fut pas retrouvé. D'abord le père, l'oncle, puis le fils, la logique des choses aurait voulu que le prochain soit Alex. Mais quand le sixième jour du troisième mois, à la douzième heure, il ne se passa rien, puis pareil le sixième jour, du sixième mois, à la sixième heure et encore rien le sixième jour, du neuvième mois, à la douzième heure, on décida que le doute n'était plus permis, l'assassin était trouvé.
Alexandra avait alors 25 ans, il était devenu assez haut placé dans le milieu, mais maintenant considéré comme non-fiable, c'est avec une bonne partie de la mafia à ses trousses qu'il dut quitter le pays. Aussi ardue était la tâche, autant Alexandro y perdait. Son argent, son business, ses hommes. Pourtant la situation était clair pour lui : s'il s'en sortait, il devrait tout recommencer. Il choisit le Japon pour cela après avoir traversé une bonne partie de la planète, et c'est à l'âge de 27 ans qu'il mis pour la première fois pied sur son territoire adoptif.
Aujourd'hui, il ne possède encore rien, mais commence à ce faire un nom dans le métier.
–|Caractère :
Tous les moyens sont bons, le temps que le résultat est celui qui était voulu à l'origine. C'est cette phrase qui résume le plus son état d'esprit, sa vision des choses, jusqu'où il est capable d'aller.
Ambitieux, sans scrupule, froid, distant, pas cruel, du moins, pas pour son plaisir. Il préfère utiliser les flowers pour les missions qu'il considère importante, plutôt que de la main d'œuvre humaine, moins chère, mais moins efficace, moins précise. Car il a un sens prononcé du perfectionnisme. Les choses se font en entier, ou ne se font pas. L'erreur est acceptée, mais l'échec est punissable, parfois avec la mort de celui qui échoue, selon son humeur et la gravité de la situation.
Son esprit est mathématique, sa vision du monde est-elle un échiquier où chaque pièce incarne une catégorie de ce monde. Son jeu préféré.
Il assimile ses personnes ou groupes de personnes aux pièces du jeu suivante :
- Le roi noir : lui, sombre, à l'abri, ne prenant pas directement les risques, mais contrôlant tout un réseau.
- Le roi blanc : la police, elle le dérange, est son principal ennemi car elle symbolise la Loi.
- Les tours noirs : les flowers, stables et fiables.
- Les tours blanches : les artificiales flowers. Une erreur de la nature...
- Les fous noirs : ses hommes, efficaces, mais toujours à surveiller.
- Les fous blancs : les traqueurs, pour les même raisons que les précédents. Il les classe dans les blancs, car il a eu bien des désaccords avec certains d'entre eux.
- La dame noire : la seule pièce absente de son jeu.
- La dame blanche : les collègues-ennemis, ceux qui exercent son métier, mais risqueraient de venir sur son territoire.
- Les cavaliers noires : la machination, même si lui la nomme l'Iniziativa. Il serait donc plus juste de dire que ces deux chevaliers désignent quand même ceux qui dirigent les flowers.
- Les cavaliers blancs : tous ces personnages de bien qui ont assez de pouvoir pour stopper son ascension de l'échelle sociale.
- Les pions noirs : les autres, qui le servent périodiquement.
- Les pions blancs : les simples civiles.
Chacun de ses coups est donc préparé à l'avance, devant lui ouvre la porte sur un prochain, lui aussi calculé, et ainsi de suite juste qu'à l'échec et mat.
–|Physique :
De type méditerranéen. Cheveux sombres, yeux sombres, peau mâte. D'une taille assez grande, 1m85, et possédant une musculature assez développée, il ne porte que des costumes, costard, chemise, mais pas de cravate, ustensile trop dangereux à son goût vu qu'il peut toujours servir à étrangler son porteur.
On notera un tatouage sur son épaule droite, dans le dos, une tête de tigre. Il n'a aucune signification particulière, simplement un coup de tête qu'il regrette parfois.
–|Aime : Pas grand chose mis à part le pouvoir et l'argent et tout ce qui peut s'y rapporter.
–|N'aime pas : Tout ce qui peut entraver sa route.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
–|[ Vous:
–|Votre âge :
–|Comment avez vous connu le forum ? :
–|Code : Ibi' passé par ici!
Rheda Powaaaaaaaaaaa!!!!!!
Dim 25 Jan - 1:22